L’homme sans sommeil


 

 

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Auteur : Antonio Lanzetta
Titre : L’homme sans sommeil
Date de parution : 16 janvier 2024 – Edition Mera
EAN : 9782957169498 – 398 pages

Epreuve non corrigée

 

 

 

4eme de couverture

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l’imposante bâtisse. Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d’inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d’Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ?

Cette histoire est celle d’une amitié, de souvenirs brisés et d’un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C’est l’histoire de Bruno, et de l’été où il est devenu l’Homme sans Sommeil.

« Un livre hautement recommandé pour tous les amateurs de thrillers et de romans noirs. » – Milan noir


Note de l’éditeur

Antonio Lanzetta, surnommé le « Stephen King italien », fait partie du renouveau qui s’amorce dans le thriller italien. Son premier roman, Le mal en soi, traduit et publié en France, au Canada et en Belgique par Bragelonne, est nommé par le Sunday Times comme l’un des cinq meilleurs thrillers étrangers de l’année 2019. Écrivain, musicien, chroniqueur littéraire, Lanzetta alterne les points de vue et les époques avec beaucoup de rythme et un sens affûté de l’intrigue pour mieux semer le doute au cœur d’une Italie rurale, profonde, tour à tour cuite par le soleil et détrempée par la pluie, l’Italie du Sud, où il a grandi et vit aujourd’hui.
Mon résumé
Près de Salerne. Peu après la Seconde Guerre mondiale. Bruno vit dans un orphelinat, tenu par un prêtre brutal. de plus, il est le souffre-douleur de certains de ses camarades à cause de sa grande taille. Quand arrive un petit nouveau, Nino. Brûlé sur une grande partie du corps, il ne s’en laisse pas compter et va prendre la défense du jeune Bruno. Quand arrive l’été, les deux garçons sont embauchés dans la maison des Aloia, une riche famille de la région. Que se passe-t-il dans cette maison aux terrifiantes statues ?
𝑩𝒓𝒖𝒏𝒐 𝒑𝒐𝒔𝒂 𝒖𝒏𝒆 𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒑𝒊𝒏𝒄𝒂 𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒗𝒓𝒆𝒔. 𝑰𝒍 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒄𝒆𝒔𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒔𝒑𝒊𝒓𝒆𝒓, 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆𝒓. 𝑰𝒍 𝒔𝒐𝒖𝒍𝒆𝒗𝒂 𝒖𝒏 𝒑𝒂𝒏 𝒆𝒕 𝒂𝒑𝒆𝒓𝒄𝒖𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒇𝒇𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆𝒖𝒙 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒆 𝒂 𝒍’𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓, 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒂𝒖 𝒔𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆, 𝒖𝒏𝒆 𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒂𝒃𝒊𝒎𝒆𝒆. 𝑸𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒂𝒓𝒆𝒔𝒔𝒂 𝒍𝒂 𝒄𝒉𝒆𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒕 𝒊𝒍 𝒉𝒖𝒓𝒍𝒂 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖’𝒂 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒔𝒂 𝒈𝒐𝒓𝒈𝒆 𝒃𝒓𝒖𝒍𝒆.
Un jeune garçon qui n’a jamais connu l’amour d’un parent, mais juste la méchanceté et la brutalité de quelques-uns. Bruno n’ose pas lever les yeux, n’ose pas lever la voix, par peur mais aussi parce qu’il sait que cela ne servirait à rien. Un jeune garçon qui va se découvrir et déterrer des secrets longtemps gardés…
De page en page, nous naviguons entre rêve et réalité, fantastique et quotidien, diverses époques du passé et présent. Cela contribue au suspense, mais cela a induit indubitablement une certaine confusion dans mon esprit.
Les deux enfants, Bruno et Nino, découvrent le manoir et ses environs : d’énigmatiques statues ornent le jardin, une bibliothèque cachée dans une tour recèle de sombres secrets, une maison abandonnée dans les environs semble avoir été le théâtre d’un drame horrible et en garde encore les stigmates. Les deux garçons rencontrent des personnages qui semblent avoir beaucoup de choses à cacher… ou à révéler : Pia l’austère gouvernante, Hans l’allemand qui sculpte des oiseaux dans du bois, et Catalina cette petite fille que seul Bruno semble apercevoir…
Mon avis
Ayant lu la casi integralité de la bibliographir de King e n’ai pas vraiment ressenti son style comme annoncé en couverture, mais effectivement la noirceur d’un Donato Carrisi.
L’auteur a embrouillé mon esprit comme il a embrouillé celui de Bruno, au point ou je ne sais pas si je m’aventurerais a lire un autre roman de l’auteur.


Catégories :Litterature Italienne, Meurtre, Netgalley, Service Presse, Thriller

1 réponse

Rétroliens

  1. C’est lundi, que lisez-vous ? – Lecture de Sam

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