Auteur : Isabelle Villain
Titre : Mauvais genre
ISBN: 978-2-37258-048-9
247 pages – Edition Taurnada
Isabelle Massare Villain est un écrivain de romans policiers français. Elle est née à Casablanca en 1966.
Après une école de commerce et un troisième cycle de publicité, elle a travaillé dans l’événementiel et l’organisation de salons professionnels.
Son quatrième roman « Peine Capitale », publié aux Editions Auteurs d’Aujourd’hui, a reçu le prix Maurice Bouvier 2015, prix destiné chaque année à récompenser un auteur de polar.
4eme de couverture :
Hugo Nicollini est un garçon différent des autres gamins de son âge. Un père brutal. Une maman protectrice. Un soir, il est témoin d’une dispute entre ses parents. Une de plus. Une de trop. Cette fois-ci, sa mère succombera sous la violence des coups. Vingt-trois ans plus tard, l’équipe du commandant Rebecca de Lost enquête sur la mort d’une jeune femme, sauvagement poignardée dans son appartement. Pas d’effraction. Pas de vol. Pas de traces de défense. L’entourage de la victime est passé au crible, et l’histoire du petit Hugo va refaire surface bien malgré lui.
Mon résumé :
C’est grace à Joel des editions Taurnada que je découvre ce roman, et par la meme occasion l’auteure. Je découvre que ce n’est pas son premier livre.
Mauvais Genre, c’est l’histoire de Hugo, un enfant pas comme les autres, et pour cause il vit dans un climat familial pas des plus recommandés. Il a un père brutal et une mere protectrice. Un peu trop peur-être. Un soir, il est témoin d’une dispute entre ses parents. Une de plus. Celle-ci sera la dernière, car elle finit par décéder sous les coups brutaux. Hugo, va prévenir la police et son père sera finalement enfermé. On se doute, que ce n’est pas pour arranger les relations déjà difficiles entre le père et le fils
Vingt-trois ans plus tard, l’équipe du commandant Rebecca de Lost enquête sur la mort d’une jeune femme. Celle-ci a été retrouvée sauvagement poignardée dans son appartement. Il n’y a pas de traces d’effraction, ni de vol. Il n’y a pas plus de traces de lutte.
Evidemment les enquêteurs passent l’entourage de la victime au crible. C’est alors que l’histoire du petit Hugo va refaire surface bien malgré lui. L’histoire de Hugo va effectivement faire parler d’elle mais sous quelle forme ? Ca le commissaire ne le sais pas. On va tout d’abord faire la connaissance d’une psychologue qui va suivre tout du long la vie du père d’Hugo au parloir. Et si elle était plus qu’une personne qui vient visiter son client ?
Le père d’Hugo lui a toujours reprocher d’être une femmelette, tout le temps a pleurer dans les jupons de sa mere. Mais si ce n’était pas sa vrai identité d’être un garcon ? Et si le commissaire Rebecca de Lost enquêtait sur le meurtre de….Hugo ? Beaucoup de questions auxquelles la police va devoir répondre.
Mon avis :
Je ne suis pas du tout déçu de cette lecture. et le format papier ca me change un peu et j’aime ca.Ce roman parle de plusieurs themes, qui , malheureusement, reste toujours d’actualité de nos jours, et pour lesquelles peu de choses sont faites. On parle assez peu des femmes battus par leurs maris.DE meme la notion de transgenre est assez peu médiatisée mais pourtant le fait d’être bien dans son corps, passe aussi par la. Cependant, c’est une chose difficile à accepter pour un père, la notion de virilité en prend un coup.
Bravo à Isabelle Villain pour ce roman, j’ai adoré.
Catégories :Thriller
A vos plumes !