Auteur : Karine Giebel
Titre : Les morsures de l’ombre
ISBN : 9782265085848
194 pages – EPUB
4eme de couverture :
Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu…
Il l’a suivie chez elle… Ils ont partagé un verre, il l’a prise dans ses bras… Ensuite, c’est le trou noir.
Quand il se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l’horreur. Une femme le retient prisonnier. L’observe, le provoque, lui fait mal.
Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie?
Une seule certitude: un compte à rebours terrifiant s’est déclenché.
Combien de temps résistera-t-il aux morsures de l’ombre?
Ça ressemble a un jeu.
Le premier qui bouge a perdu
Mon résumé :
Benoît Lorand, commandant de police dans la région de Besançon, se réveille dans une cave. Rapidement, il se rend compte qu’il est retenu prisonnier. Sa geôlière se trouve être une superbe femme rousse prénommée Lydia. Celle-ci parait quelque peu dérangée et veut se venger des soi-disant méfaits du policier. Ce dernier nie tout en bloc et cherche à comprendre comment il a bien pu se retrouver dans une situation aussi désespérée. Sa vie ne tient qu’à un fil et ses tortures autant physiques que psychologiques ne font que commencer.
On va vite comprendre au fil des chapitres que Lydia, a quelques problèmes psychologiques, d’ailleurs elle est suivie depuis de nombreuses années par une psychologue. Benoit l’a bien vite compris mais arrive malgré tout au bout de longues, tres longues ruses a ramener Lydia de son coté et a lui faire croire des choses, afin de pouvoir retarder l’échéance fatidique.
Tout ce que souhaite le flic, serait de pouvoir s’en sortir et que ses collègues le trouve enfin !
Mon avis :
Je classerais ce roman dans la catégorie roman psychologique. Roman qui bien que court par rapport a ce qu’on connait de Karine Giebel, est très bien mené. Le personnage de Lydia est bien tourné et on ne peut que la plaindre, tout comme semble si bien le faire le policier. JE pense que je ne le classerais cependant pas parmi mes préférés de l’auteur mais vaut tout de même d’être lu.
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